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1.
Revue des Maladies Respiratoires Actualites ; 15(1):55-56, 2023.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-2182960

ABSTRACT

Declaration de liens d'interets: Les auteurs declarent ne pas avoir de liens d'interets. Copyright © 2022

2.
Journal of the American Association for Laboratory Animal Science ; 61(5):506, 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2092399

ABSTRACT

"As a mechanism to maintain compliance with federal regulations and guidance while also considering personnel health and safety during the COVID-19 pandemic, the IACUC authorized the Office of Animal Research Support (OARS) to develop a ""self-assessment"" program for semiannual inspections and postapproval monitoring (PAM) activities. During most of 2020 and portions of 2021 and 2022, the Animal Resources Center self-assessed central rodent and aquatic vivaria and laboratory personnel self-assessed surgery areas and satellite housing in their laboratories, in lieu of the IACUC or OARS PAM staff. The self-assessment program resulted in a 74% increase in total findings per inspection in central vivaria and a 112% increase in findings per inspection in satellite housing facilities. Self-assessments of surgical laboratories resulted only 26% findings per inspection compared to the IACUC or OARS. Categories of findings were similar, regardless of the mechanism. We believe that a combination of targeted self-assessments and focused monitoring by the IACUC or OARS may improve investigator engagement in the inspection process and could lead to improved compliance in the long term."

3.
Infect Dis Now ; 52(5): 280-285, 2022 Aug.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-1991060

ABSTRACT

OBJECTIVES: The HEMVACO study evaluated the humoral response after mRNA anti-SARS-CoV-2 vaccination in an hematological cohort. METHODS: HEMVACO was a prospective, multicentric study registered in ClinicalTrials.gov, number NCT04852796. Patients received two or three doses of BNT162b2 vaccine or mRNA-1273 vaccine. The SARS-CoV-2 TrimericS IgG titers were measured 1, 3, 6 and 12 months after the second dose. RESULTS: Only 16 patients (11.6%) were naive of hematological treatment and 77 patients (55.8%) were on active treatment for hemopathy. Among the 138 analyzed patients, positive antibody titer at 1 month was obtained in 68.1% of patients with mean serology at 850±883 BAU/ml. Risk factors for vaccine failure were anti-CD20 therapy (OR=111[14.3-873]; P<0.001), hypogammaglobulinemia under 8g/L (OR=2.49[1.05-5.92]; P=0.032) and lymphopenia under 1.5G/L (OR=2.47[1.18-5.17]; P=0.015). Anti-CD20 therapy induced no anti-SARS-CoV-2 seroconversion (96%). Seventy-eight patients (56.5%) received a third dose and could reach the SARS-CoV-2 TrimericS IgG titer of high-risk patients (P=0.54). The median titer at 379 BAU/ml distinguished two groups of vaccine response (99±121 BAU/ml versus 1,109±678 BAU/ml). CONCLUSION: Vaccination should be performed before anti-CD20 therapy if the hemopathy treatment can be delayed. Administration of the third vaccine dose was interesting for patients with suboptimal response, defined by a 379 BAU/ml titer in our study.


Subject(s)
COVID-19 , Hematologic Diseases , Vaccines , 2019-nCoV Vaccine mRNA-1273 , Antibodies, Viral , BNT162 Vaccine , COVID-19/prevention & control , COVID-19 Vaccines , Humans , Immunoglobulin G , Prospective Studies , RNA, Messenger , SARS-CoV-2
4.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):7-8, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586710

ABSTRACT

Introduction Trois vagues ont été observées dans le cadre de la pandémie d’infection à SARS-CoV-2 (Covid-19). L’objectif principal était de comparer les patients admis pour Covid-19 grave, en réanimation ou en unité de soins intensif (USI), durant les 2 premières vagues (V1: février 2020 à août 2020 et V2: septembre 2020 à janvier 2021). L’objectif secondaire était d’évaluer les facteurs de risque de mortalité. Méthodes Étude observationnelle, rétrospective, monocentrique (CHU Amiens-Picardie). De février 2020 à janvier 2021, les patients admis en réanimation ou USI pour Covid-19 confirmé (PCR ou test antigénique positif) ou probable (atteinte scannographique et/ou clinique compatible et contexte de contage) étaient inclus. Les données démographiques, biologiques, scannographiques ainsi que les données sur la prise en charge, les complications et la mortalité ont été analysées. Résultats Les patients des 2 périodes (V1: 145 et V2: 120) étaient globalement comparables à l’admission en dehors de leur âge, plus élevé durant V2. La prise en charge a considérablement évolué entre les deux périodes: durant V2, une corticothérapie précoce était plus fréquemment administrée (88,3% vs. 18,8%;p<0,001), les patients étaient moins intubés (50% versus. 71,7%;p<0,001), avaient davantage bénéficié d’oxygénothérapie à haut débit (OHD) (71,4% vs. 36,1%;p<0,001), les durées d’hospitalisation en réanimation étaient plus courtes (18 [7–32] versus 11 [6–22] jours;p=0,036). Au total, 93 (35,1%) patients sont décédés: 46 (31,7%) issus de V1 et 47 (39,2%) issus de V2. En analyse multivariée, 3 critères étaient associés de façon indépendante à une augmentation de la mortalité globale: un score IGS2 élevé (1,03 [1,02–1,05];p<0,001), un âge élevé (1,04 [1,02–1,07];p=0,001) et le fait d’être admis durant V2 (2,00 [1,19–3,37];p=0,008). À l’inverse, un rapport PO2/FiO2 >200mmHg à l’admission (0,48 [0,26–0,89];p=0,019) était associé à un meilleur pronostic. Conclusion Il s’agit de la deuxième étude s’intéressant à la comparaison des patients admis en réanimation en France entre les deux premières vagues de la pandémie. Malgré l’évolution majeure des pratiques, on observe une augmentation de la mortalité en réanimation durant la 2e vague. Le recours plus fréquent à l’OHD n’est pas associé à l’augmentation de la mortalité globale et permet au contraire une diminution de la durée d’hospitalisation, et ainsi une meilleure disponibilité des places de réanimation.

5.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):130, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586660

ABSTRACT

Introduction Depuis 2019, l’épidémie de COVID-19 (infection à SARS-CoV-2) est responsable de 4 millions de décès dans le monde. Il n’existe, à ce jour, aucun traitement spécifique. La corticothérapie fait partie, depuis octobre 2020, du standard of care, suite à la publication de plusieurs études (dont la cohorte RECOVERY, NEJM 2020) montrant une amélioration significative de la survie lorsqu’elle est utilisée à la phase aiguë des pneumopathies hypoxémiantes. Cependant, peu de données sont disponibles concernant son impact sur l’atteinte résiduelle. Notre étude a donc cherché à savoir si le recours aux corticoïdes à la phase aiguë des infections à SARS-CoV-2 réduit la survenue de séquelles respiratoires à 3 mois, 6 mois et 1 an. Méthodes Il s’agit d’une étude observationnelle, rétrospective, réalisée au CHU d’Amiens entre mars et octobre 2020 concernant les patients ayant été hospitalisés dans une unité COVID. Ces patients étaient convoqués à 3 mois pour la réalisation d’un examen clinique, d’un scanner thoracique, d’explorations fonctionnelles respiratoires et d’un test de marche de 6 minutes. L’évaluation à 6 mois et 12 mois étaient optionnelles. Résultats Trois cent neuf patients ont été inclus. Parmi eux, 74 patients (23,9 %) avaient reçu une corticothérapie. À 3 mois, les patients ayant reçu une corticothérapie présentaient significativement plus de lésions en verre dépoli et une atteinte radiologique plus étendue ;ce qui n’était plus le cas à 6 mois et à 1 an. Il n’y avait pas de différence significative concernant les séquelles fonctionnelles à 3 mois comme sur le plus long terme. Conclusion Les patients ayant reçu une corticothérapie étaient peu nombreux et les plus graves, issus de la « première vague », ce qui peut expliquer les différences retrouvées lors de l’évaluation à 3 mois. Les séquelles respiratoires à 6 mois et 1 an semblent moins importantes dans le groupe ayant reçu une corticothérapie, mais le nombre de patients est insuffisant pour conclure. Cette étude n’a pas permis de mettre en évidence de différence significative à long terme entre les patients ayant reçu ou non une corticothérapie. Il semble nécessaire de poursuivre cette étude en appariant les patients sur la gravité initiale.

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